Cellule 34

Nombre de messages : 19 Age : 33 Date d'inscription : 03/02/2007

Parmis quelques cages vide de la cellule 34, une salle avait en sa possession une jeune fille. Dans l'ombre de la salle, elle avait les yeux fermer et dormait. En boule, renfermer comme une coquille entre des des barreaux assez gros, avec un cadenas de fer lourd. Malgré sn existence presque ffac et sa respiration lente, elle était comme toujours en pleine forme. Sa robe noir trop grande pour elle, et d'une longueur interminable, lui servait de couverture dans le froid. En effet, pourquoi laisser les radiateur dans la cellule 34, alors qu'elle logait qu'un et unique personne. Ont aurait dit une jeune fille bien innocente et heureuse, si ont ne verrai pas les coups qui parcemaient sont corp. Elle, bien trop jeune pour comprendre qu'est-ce une ie libre, croyait entre dans une bonne ambiance de vie, entre les coups, les piqures et le manque de nourriture, tant qu'elle avait eu dormir et manger finement. La jeune fille, pas encors adulte vu qu'elle n'avait que 15 ans, s'appellait Yuna. Elle revait, mais de quoi pouvait-elle rever ? C'est pour cela que son reve n'était qu'une étendu noir et vide. Entre deux souffles, elle pu entendre des bruits de pas, qui s'approchait de sa cellule, croyant que c'était son aitre qui venait la chercher, mais c'était bien trop tot pour cela, il faisait nuit noir, meme si Yuna avait la chronologie du temps, elle ne pouvait pas voir la fenetre, car dans la salle il n'y en avait pas. La jeune fille se mit accroupi, les bras autour de ses genoux . . . apres tout, elle ne pouvait pas se levait, c'était bien trop étroit et petit. Les pas résonait encors, la personne qui s'approchait pouvait bien allait dans une autres cellule, car il y en avait plus de 50 dans le labo, Yuna c'était amuser a les compter un jour, quand elle allait vers sa cellule...

Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 02/02/2007

Vingt-quatre, la facce rougié par un mauvais coup d'un étrange loubard, avait finalement décidé de fuir; Sur cette base deuis un bon moment : Le travail y étant fréquent. Il avait finalement réscament était ramené a son passé et devait retourner sur les lieux qui l'avait vus naitre et vivre plus de la moitier de sa vie actuelle.. Marchant donc vers un parking a vaisseaux -Tres peux employés puisque la majeur partie des machines était militaire, les rares fabriquants ne vendant pas ennormément d'engins! Les boites fermaient une a une, le desespoir d'un systeme du chacun poour soit sans ressources véritable n'avait aucun avenir sérieux.. Quant la machine partirai pour ressembler au passé terrestre, les écarts serait faramineux. Vingt-quatre lui, de part son métier, avait beaucoup d'argent, il ne dépenser pas grand chose et pour fuir la lune, avait volé une tenntative de vaisseau spatial, lamachine inspirée de lAigle Russe, Su-47.. Une face applatie, la fin des angles arrueres finissant chacun applatis, les trois vitres du coqupite toujours présente, le vaisseau changé cependant en certains point de l'unité aériènne disparues depuis bien longtemps maintenant : De part et d'autres il y avait deux ennormes ailes qui était véritablement plus grande et l'arge que la partie du milieu ! Ce qui pouvait faire un bon vaisseau camiquase.. Au dessu de l'unité principale, combiné a des réacteurs subsonique et supersonique néscéssaire a l'utilisation de manipulation flèche inversée; était donc ajouté deux énnormes propulseur à énnèrgie lunaire (un dérive de l'énnèrgie atomique plus performent découvert par le groupe des cinq premiers scientifiques dans la cinquième année ou ils était installés.)! Plutot laide, le vaisseau était dépourvu d'armement.. Sa maniplation était parmis les meilleurs avions de l'ancienne terre, la seule révolution a l'époque était la vitesse permetent le parcour de l'espace très rapidement. La coque quant a elle n'avait qu'une résistence néscéssaire pour supporter les grandes viteisse.

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Arrivé dans les lieux, Vibgt-quatre qui n'avait plus quitté la plannète depuis pret de cinq ans fut presque surprit de voir son engin, seul au milieu d'un vide impréssionant.. Plusieurs disaines d'hectars vides. Il s'approcha alors de son engine t y apposa une main délicate et caréssa un coup le vaisseaux faisant resortir par dela la poussière, la magnifique cuirassa métalique de l'engin. Vingt-quatre tourna son regard vcers l'aile gauche qui toucher le sol sur son extremitée extérieure soutenant ainsi la partie centrale a 60centimetres du sol. Il grimpa donc sur l'aile et partit ouvrir le coquepite, il ne savait pas vraiment manipulé l'engin et avait fallit perdre le controle et dérivé dans l'espace a chaque utilisation.. Mais réscament un amis, un gfars plutot intelligent qui l'avait payé une fois pour tué son patron, lui avait indiqué que cela devait venir des réacteurs supérieur, l'énnèrgié lunaire (qu'il ne connaissait pas ici) devait certainement néscéssité des réctifications, oui.. Son vaisseau n'était qu'un prototype et se serait toujours aussi difficile sauf s'il le vaisait étudié par une boite spéscialisé.. Mais je l'ai déja dit, la majeur partie fermée trop vite, l'experience et le talent n'avait pas le temps de s'y créer. Vingt quatre ouvris l'un des deux vitrages arrière, qui était en réalité une place supplémentaire. Y donna unr apide coup de balayettequi y était étrangement présente; refermant le lieux (la ou nil avait prévu de metre sa soeur), il refermat donc et s'installa au coquepite, poste de pilotage.. Couché dans celui-ci, la tête relevée il attrapa fermement d'un main le levier de pilotage et de l'autre activa les propulseur inbférieur pour partir.. Une fois dans l'espace les supérieurs. Direction la lune..

-Une semaine de vol fut toute fois néscéssaire-

Vingt-quatre regreta quelque chose au plus profond de lui-même durant le vol, il n’avait pas prit de provisions ! Une barre chocolaté dans une pauche certe, mais a part cela il n’avait rien dans le vaisseau. Lorcque le vaisseau arrivas en vus de la base lunaire, affaiblis, la vision troublée par le manque de force le rendant aussi faible qu’un humain : Il ce pausa en trombe dans la zone d’aterissage – Les factions lunaire n’était toujours pas au courant des autres groupes humains survivant, cependant ils avaient dus envoyés un vaisseaux du meme genre réscament pour ouvrir a Vingt-Quatre, ou bien était il attendus ? Les vitrages du coquepite s’ouvrirent automatiquement grace a la pression de vingt-quatre sur un bouton, il prt une bonne bouffée d’aire et appuyas sur un autre bouton pour remplire les reserves d’oxygènes.. Puis il renifla un coup, humant donc brèvement l’air il ne sentit aucune audeur proche mais ceci pouvait etre cammouflée par l’hodeur de la combustion des réacteurs inférieurs de son engin ! Il se redressa toute fois tranquilement, sur de lui il avai raison.. Balayant els allentours, il n’y avait personne. Il sauta donc sur l’une des ailes et déscendit tranquilement.. S’il avait quitté la base il y avait environs 11ans, elle n’avait pas changé, ou du moins pas cette salle, l’une des seule qu’il avait pus voir. Il s’avensca donc vers des portes automatiques de coueur verte, celles-ci s’ouvrirent et il fut surprit de voir deux gardes eux même surpritd e l’ouverture des portes de l’autre coté pointant de petits pistolet noir légèrement plus évolué que ceux de la terre, vers vingt-quatre..

Garde : « -Haut les mains. »

Garder2 : « -Je dirait même plus, haut les mains ! »

Vingt-quatre regarda le drole d’équipement des hommes de sécurité, costar cravate noir, un chapeau melon noir et une canne.. Deux vieux grand pere moustachux semblant avoir des centaines d’années derriere eux, ce qui était plutot peu commun. Vingt-quatre leva un sourcil, il ne les avais jamais vus ou sentis dans la base, peut-etre avait il finalement decouvert et ouvert les frontière avec les autres humains ? Vingt-quatre leva le plat de ses mains sans levé les bras plus haut que son bassin.. Ses vieux ne lui ferait pas demal mais il ne voulait pas leur en faire.

Vingt-quatre : « -Je, je me baladait et, je me suis perdu. Et lui dérrière ? (Pointe du doigt quelque chose d’innexistant) que fait il la ? »

Les deux gardes se retournère surprit qu’il y est quelqu’un et pendant ce temps tous con d’une scène très connus ; Vingt-Quatre les contournas et attrapant l’arriere du cran de l’un des deux assoma le second avec.. Ainsi, les deux s’écrasèrent au sol. Vingt-quatre les menas dans la salle d’aterissage, le lumiere etait faible dans la base, c’était donc la nuit, personne ne viendrait ici.. Il les ligota avec l’une de leurs vestes et les baillona avec l’autre, prenant leurs armes qu’il rangeas dans chacune de sses poches de sa vestes, il repartit par la porte, prit le couloir comme le jour de sa fuite.. Ses pas qu’il n’avait fait qu’une fois, il s’en souvenait comme s’y c’était hier, courant et pleurant, cadavre de sa Fify entre les mains.. Sous cette pensée ses yeux s’emplirent de larmes alors qu’il continué de marché, alors, un bruit de pas le fit se plaquer contre l’un des murs, deux personnes discuté..

Homme1 : « -Je vais allé sortit vingt-cinq de sa cage, l’entranée toute la nuit piur le test de demain. »

Homme2 : « -Bien, va.. Soit prudent, les autres pourait attaquer et il y as peut de gardes la nuit. »

Homme1 : « -Ne t’inquiete pas, dans le pire des cas j’enverai vingt-cinq faire l’appat ! »

Les deux hommes se mirent a rire, ets e séparèrent, Vingt-cinq laissa l’un passé puis suivit l’homme porteur de chance : Ses cages a lui, uniquement faite de béton, sans barreaux donc, se trouvait dans le couloir d’où les deux hommes venaient ! Celui que l’autre avait prit mené a vingt-cinq ainsi, elle était gardée autre part. Ainsi, sans bruit ou pas assez pour que l’homme ne l’entende dans ses propres pas deja tres bruyant.. Il avença.

Homme1 : « -La salle des cage est vraiment loin, n’est ce pas vingt-quatre ? »

L’homme se stoppa et bien entendus vingt-quatre aussi, plutot surprit, les sourcils llevé bien haut et arrondis.. Ceux-ci redevinrent cependant a bonne taille rapidement.

Vingt-quatre : « -Oui.. »

En un geste ample et rapide il sortit alors l’un des deux pistolet terrien volé aux gardes et le planta dans le dos de l’homme.

Vingt-quatre : « -Mais bien entendus, nous y allons toujours.. »

La marche reprit donc son court, sans plus de mots ; Ce n’est qu’une fois arrivait a une porte qui s’ouvris automatiquement que l’homme fit un pas de coté et fit signe a Vingt-quatre qui prit soin de lui asseinir un coup dans la nuque pour le metre au tapis ; Il sentit toutes fois que les os ne craquairent pas et cela l’étonna, lorcqu’il fit un pas dans la salle, les lumières grillées de s’allumairent donc pas mas peu importait puisque vingt-quatre avait une vision assez accrues il pus distinguer les dizaines de cages grillagée, de petite taille, pas de quoi se levé.. D’un certain coté, le confort était meilleur que pour lui, d’un autre il était pire. C’est tous ce qu’il pensa avant qu’il n’apercoivent une forme assise dans une cage, le haut du crane de la fille toucher le grillage supérieur ; Alors, son cœur se mit a palpiter, partant comme un jeune etalon enchainan ruades sur ruades et courant en tous sens, une sorte de malaise intérieur tentat de s’installer mais il le balaya d’une pensée lorcque les alarmes ce mirent a retentir.. Soit il était repéré, soit la faction lunaire attaqué. D’un pas ferme il se résila a marcher pour aller a la rencontre de « ce cobaye », de coté a la cage il se stoppa et mit un certain temps avant de ce retourner en face et de s’accroupir pour regarder yeux dans les yeux la fille qui se trouvait face a lui, son mal être était facilement visible, ses yeux soudainement scerner.. La vois hésitante il demanda alors :

Vingt-quatre : « -Tu.., Tu est vingt-cinq n’est ce pas ? »

Sa vois était a peine audible dans le brouaha des alarmes, mais si elle avait suivit les même implantation que lui, si elle était bien du projet, elle entendrait !

Nombre de messages : 19 Age : 33 Date d'inscription : 03/02/2007

Yuna entendit des alarmes retentirent, c'était la deuxieme fois qu'elle entendait sa au cours de sa courte vie, la premiere fois, c'était quand . . . enfin, elle ne voullait pas se rappeler le jour la. Un jeune homme entra, Yuna comprena qu'il hesitait a rentrer, avait-il peur de s'approcher d'elle ? non, il n'en avait pas l'air . . . alors pourquoi hesitait-il ? Yuna n'avait pas le cran de demander, pour ne pas se manger des coups de batons. En effet la jeune fille avait peur des coups violent, meme si elle c'etait habituer, elle ne voulait pas qu'une autre question lui fasse des bleu sur le corp. La jeune fille regarda alors le jeune homme s'approchait, il n'avait pas l'air d'un scientifique, ni d'un garde, il etait jeune, suffisament pour etre le frere de Yuna. Mais elle avait l'habitude d'appeler tout le monde "maitre", on lui appris ainsi, elle remplacait tout les "il", tout les monsieur par "il" aussi, qu'avec l'habitude, tout le monde porter le nom de "maitre". C'etait comme un dicton.

L'homme se retrouvait pres de Yuna, et s'agenouilla devant sa cage. Sa question se porter sur son sujet, sans hesiter, avec assurance elle repondit :

"Non maitre, je me nommes Yuna."

Elle aurait aussi pu demander, qui est 25, mais n'osa pas comme la question precedante. La jeune fille regarda de plus pres le jeune homme et mis sa tete pres de barreaux de l'ouverture de la cage, regardant les traits du visage de l'inconnu, elle pu constater des ressemblance.

"Vous me faites penser a quelqu'un, maitre."

La personne a qui faisait penser le visage de l'inconnu, etait le siens. Bien qu'il soit frere d'age different, mais finalement faut jumeaux, elle voyait en son frere une petite partie d'elle. Ont aurait aussi pu dire, qu'il y avait du caractere presque pareil. Mais pour ce temps, Yuna ne savait pas, que la personne qui se tenait devant elle soit vraiment son frere. Elle n'avait jamais pu se voir dans un mirroir, juste dans le reflet de la vitre ou dans l'eau de son gobelet habituelle. La jeune fille se remit en meme position qu'avait, pour ne pas que l'inconnu la croye trop curieuse. Le jeune garcon semblait angoisser, Yuna s'avait reconnaitre les differente expressions du visage. Bien heureusement, Yuna n'etait jamais angoisser, toujours heureuse de vivre, il y avait toujours se jour, ou son ami c'etait fait tuer, elle esseya de cacher sa tristesse par un petit sourire, car elle vivait encors, meme si son ami, lui avait peri. Elle aurait preferer etre a sa place, car c'etait aussi de sa faute, si elle n'aurait jamais etait la, il se serait enfuit de la base sans allait la chercher, elle aurait surement survecu, mais ce n'etait pas en se tuant, qu'elle ferait plaisir a 23. Yuna regardait son 'maitre', pour voir si il avait une autres question a poser.

Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 02/02/2007

La première chause fut qu'elle entendus, car la fille enfermée dans sa petite cage lui répondit sans attendre, avec une assurence impréssionante.. Normalement, la sentance aurait était quelques coups, elle était peut etre déja passer au choc electrique ? ou pas encore ? Enfin, Vingt-quatre avait d'autres chause a penser, la fille tous en répondant négativement montrat une certaine intrigue tous en arpprochant son visage des barreaux de la cage.. Ses grands yeux, la couleur était plus ou moins identique a celle des yeux de vingt-quatre et, il fallait avoué que la couleur était unique.. Dus aux experiences communes ou a un gêne semblable ? Elle n'était pas 25, sa soeur était le projet vingt-cinq, mais en 500ans, qui sait ce qui avait pus advenir des document et des traces de son nom d'origine. Elle, s'appelait Yuna. Vingt-quatre parus alors comme dessus, sans vraiment broncher, son regard dévia tous de même vers le sol, vraiment attristé. Bien que l'espoir subsista voyant les cohincidence physique, le fait qu'elle était la seule dans la pièce et que l'homme lui avait dit que vingt-cinq était ici, d'ailleur il ce le fit remarquer plus pour lui même que pour elle. Vingt-quatre: "-Pourtant, un homme a l'entrée m'a assuré que vingt-cinq était ici.." Son regard se relevas vers la prisonière, cobay.. Alors qu'il emmena une main sur le cadenas de la porte, regardant celui-ci et non plus la Yuna, il avait deux place dans son engin, en plus de celle du pilote.. Et il ne pouvait laissé quelqu'un vivre dans de tels conditions depuis qu'il avait gouté a une vrai vie ! Pauvre certe mais vrai. Avec des liberté et des droits, tous comme des devoirs. Ainsi trifouillant au cadenas, il l'empoigna finalement tous en demendant. Vingt-quatre: "-Yuna ? Vous connaissez votre nom ? Le nom du projet au quel vous appartenez ? Vous avez peut-etre connus un certains, un, ou.. Vingt-trois ?" Il sérra un coup le cadenas qui crissa l'espace d'une seconde, l'alarme sonné toujours, de toute évidence, ce n'était pas a cause de lui, sinon, il serait déja scerner par des dizaines de gardes. R'ouvrant finalement sa main, une légère poussière métallique glissa de sa main pour finalement partire dans une courte chute jusqu'au sol alors que Vingt-quatre se relevait, ouvrant la porte de la cage tranquilement.

Nombre de messages : 19 Age : 33 Date d'inscription : 03/02/2007

Yuna regarda subitement la porte s'ouvrir. Elle se demandait ou irait-elle maintenant, a cette heure, un entrainement forcer, des exercices mentaux ? Elle ne voulait pas vraiment y penser, elle sorta de sa cage, et se releva tant bien que mal, ses yeux se poserent alors de nouveau sur le visage du jeune homme, elle lui repondit alors a sa question suivante.

"Je suis le projet Silver."

Elle se demanda alors, ce que se mot pouvait bien dire, elle prefera finalement ne pas le s'avoir, ce n'etait pas dans sa nature de vivre, elle vivait dans un endroit remplie de "question", qu'elle se posait sans arret, mais ont lui avait appri que la curiositer etait un vilain default. Peut etre etait-ce vrai. Yuna entendit alors le reste . . . elle connaissais bien 23, elle aurait prefere se taire, ne rien dire, mais elle repondit tout de meme.

"Oui, 23, je le connais, je le connaissait . . ."

Elle avait un air triste sur son visage, mais le camoufla.

Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 02/02/2007

Vingt-quatre sortit un bout de papier pler en quatre et le jeta au sol non loin de la cage de la Yuna, un méger sourire aux lèvres..Il n'avait pas l'habitude qu'on l'appel matre mais ce nétait pas cela qui provoqua se sourire, les numéro du projet Silver, dedans, il n'y avait quasiment ques des unité masculine; L'homme lui avait dit qu'elle était vingt-cinq et.. Et bien, elle était légèrement plus jeune que lui, ce qui pouvbait indiquer qu'elle était bien sa soeur meme s'ils n'étaits pas jumaux comme il l'aurait imaginé et comme le papier officel le disait.. Il percerait ce mystère plus tard, une chause était clair pour vingt-quatre, qu'elle le scahe ou pas, et qu'il en ai ala preuve ou pas elle était sa soeur. Trop de chause coincidé, beaucoup trop et puis.. Quant on ne veux plus vivre et que quelque chose comme sa nous raccroche avec une tel force a la vie, rien ne peux nous convaincre d'une réponce contraire.. Regardant donc Yuna avec le sourire aux lèvres, il se tein bien de lui dire de suite qu'ils était frère et soeur. Elle ne el croirait peut-etre pas et il lui fallait une preuve avant tout.. Une autre chose, elle devait certainement penser, comme lui l'aurait pensé a l'époque, qu'ils sortait pour un test, un entrainement, ne connaissnat rien de la vie et de ce quis e produisait en ce momentd ans sa vie, ne s'en rendant meme pas compte ! Vingt-quatre : "-S.. Yuna; Je sait que tu ne va pas comprendre tous de suite, mais.. je ne peux pas t'emmener de force. J'aimerais t'emmener loin, loin en dehors de ses murs, des barreaux! Mais surtout des salle d'experience et d'entrainement, des baton et des scientifiques.. Si tu le veux, [Les mains de Vingt-quatre maintenant en face de Yuna et plutot proche, attrapèrent l'un des mains de Yuna aussi délicatement qu'il le pus] si tu veux voir ce qu'est une vrai vie, une ou tu n'a pas a apeller les autres Maitre, une vie ou tu n'a pas a te metre en dessous des autres, suis moi.." Les pupilles de Vingt-quatre partirent sur le coin de leurs orbite, regardant les portes, l'autre homme n'était plus la.. Ainsi, les alarmes sonnéent a la fois pour l'autre faction mais aussi pour lui, son intrusion et leur désire de le détruire ou le ramener au bercaille. Son regard se retourna donc dans les yeux de Yuna, attendant sa réponce, les bruis de pats se firent entendre, et ceux-ci se dirigait forcément par ici.. Des bruits de choc métalique, les equipements des gardes avaient changés, ou bien ils avait construite des unité robotique.. Le regard plein d'espoir mais aussi emplit d'une légère pointe d'emprèssement il attendit donc, patiament, que Yuna puisse comprendre certaines de ses paroles, et choisir. Il ne pensa guère a vingt-trois, il n'avait ni le temps ni l'envis, ayant toujours conscidéré que celui-ci l'avait abandonné dans sa fuite de la faction qui attaqué celle-ci en ce moment même.

Nombre de messages : 19 Age : 33 Date d'inscription : 03/02/2007

Yuna avait donc une proposition de fuite, ou plutot de liberter, qui lui etait proprement accorder. C'etait inhumain de l'enfermer, elle ne l'avait pas meriter, c'etrait une jeune fille qui n'avait rien fait de mal pour avoir une telle correction. Mais malheureusement, elle ne le savait pas, trop baigner dans les mensonges et trop naif pour comprendre qu'ont la bergne. lle ne savait pas ce que voulait dire le mot "liberter", elle ne savait pas que derriere les rempart de fer, il y pouvait avoir une vie meilleur. Yuna croyait seulement, que c'etait sa vie, une vie normal, remplite de surprise. La jeune fille remarqua les yeux qui pouvait cachait une expression assez pressante. Cela lui fit rappeller, les expressions des scientifiques qui la regarder avec cette meme expression, a attendre que quelques choses se passe enfin dans l'organismes de Yuna. Cela la remit en droit chemin, c'etait la seule personne qui se preoccupait vraiment d'elle, et Yuna pouvait remarquer que c'etait un garcon qui venait d'autre part, ce n'etait pas un scientifique et il etait surement entrer par efraction dans le labo a entendre les pas lourd et pressant se rapprocher a toute allure ici.

"Je viens avec toi."

La jeune fille prit la main du jeune garcon et le tira un peu vers la sortie. Elle n'avait jamais fait sa, s'enfuir devant ses superieur, ni tenir la main d'un inconnu et le tirait, au lieu que se soit lui qui la tire.

"Il faut se depecher, avant que l'alarme atteigne le niveau 2, sinon nous ne sortirons pas de la si facilement."

L'alarme niveau 2, etait celle d'intrusion, les portes se verrouilleraient tous, et vu leur metal et leur grosseur, il serait impossible de sortir. Malgrer que cela ne s'es encors jamais arriver, un jour ont l'entraina a rentrer dans la base de donner d'un ordinateur, et les scientifiques ont tester les capacites de Yuna sur l'ordinateur de securiter, elle avait pu memoriser quelques trucs pendant le test. Les scientifiques avaient ete naif ce jour la. Mais Yuna n'avait pas fait de chose "illegal" avec ces informations, elle se les avaient garder pour soi.

Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 02/02/2007

Elle répondit positivement, dans l'enchainement elle lui attrapa la main et tira légèrement comme pour le pousser a se dépecher, le premier pas vers une libertée proche c'était fait plus vite et facilement qu'il ne l'aurait crusd et il n'aurait pas comme il avait auser l'imaginer avant de balayer cette pensée, a l'emmener de force. Soulagé, ses traits se rtadouscir moins présent, un léger et doux sourire se déssina sur ses lèvres en même temps qu'il fit son premier pas pour répondre positivement d'un geste de la tête a l'affirmation de sa (théorique) soeur. Et ils partirent donc d'un pas rapide, les pas plus pesnat que jamais, les gardes finir par arriver alors qu'ils n'était qu'a mi chemin entre la cellule numero 34 et la sortie de la piece. Une dizaine de soldat lourdement armés, le fait d'envoyé tant d'unité signifiait sans contestes que le niveau 2 ne serait déclanché en aucun cas, les scientifique esperent certainement ramené vingt-quatre dans leur camps, et puis les enfermer les obligerais a réouvrir les portes plus tard pour les tué tous les deux, mais cela, ni Yuna ni Vingt-quatres n'y pensèrent.. Lorcque el premier soldat apparus dans le coin d'une porte vingt-quatre se stoppa net et stopa Yuna, mains l'une dans l'autre il la tira vers lui pour faire un pas devant celle-ci.

*Musique de fond http://site.voila.fr/newworldorder/17___Toshiro_Masuda___Bad_Situation.mp3*

Quelques rire sadique sortirent des bouche infames des soldats pret a faire feu mais furent stopée par une vois plus pausée, plus agée et sévère a la fois. (tes pas obligée de rester dans mon dos moi je t'y place dans le feu de l'acxtion mdr mais apres hein, comme tu veux XD), un bras tendu derriere lui, celui-qui avait emmené Yuna derriere, l'autre main dans sa pauche.., L'homme sportit du groupe et sans chercher a savoir qui il était (sachant qu'il etait le chef de lactuel groyupe scientifique de cetet faction lunaire) il placa l'un des deux pistolet dérobé aux frères dupont pointé vers l'homme, caché dans sa poche, et préssa la détente, sous le coup de feu le snag jicla de la poitrine du scientifique touché en plein coeur et sous le choc, la suprise ou la peur celon chacun, une salve et une seul salve, sortit de leurs armes.. (ou que tu soit) Vingt-quatre fit alors une petite poussée sur l'épaule de Yuna, une cheville placée pour la faire tomber aus ol (et ainsi évitée la vagues de balels/laser ? ennemis), dans l'enchainement a une viteisse (vertigineuse pour un humain) il tentat en vein d'évité la salve mais n'étant pas aussi rapide que Flash (commencons la sitation des héros américains..) il n'eu guère le temps de cela et une bonne vingtaine de balle/laser le frapèrent en plein ventre et se plantèrentd ans la fine couche de véritable peuax qu'il avait pour finalement cogner la couche de métaline, s'y écrasant; Vingt-quatre fit un pas en arrière, les yeux écaquilles sous la force de l'impacte il fit un pas en arrière et cracha un joli paquet mélant joliement sang et salive (Beurk !), son pas en arrière forcé et bancal le fit trébuché sur quelque chose d'innéxistant et s'écraser en arrière: Les premières fois étant toujours les plus dur, sa première balle, multiplié par 20 fut un choc assez dur a encaisser ! XD *bon voila a ma petite soeur de jouer, mais, heu, tu en tue juste un ou deux s.t.p maximum j'aimerais pas qu'on s'evade trop vite se serait pas marant et trop super man XD*

Nombre de messages : 19 Age : 33 Date d'inscription : 03/02/2007

Yuna avait vu son ami, qui en faite etait son frere, se faire tirer dessus, grace a lui, elle avait pu rater une balle, qui aurait pu la tuer. Elle ne savait pas quoi faire, et si tout cela etait un test pour savoir sa reaction, si le jeune garcon faisait partie du test ? Et si apres on la tuerai pour sa trahison ? Elle n'en avait que faire, elle n'avait pas remarquer une expression de mensonge ou dans la voix du garcon, elle se decida alors a attaquer, de toute facon, elle etait arriver bien trop loin.

"Je peux . . . le faire ?"

Les hommes rigolerent en voyant la jeune fille un peu perdu, pendant se moment d'innattention, ils detournerent leurs regards pour se regarder debilement les uns les autres. Quand ils reposerent leur yeux sur la cible, elle n'etait plus la. Elle se trouvait derriere eux, un visage colereux et leur dit :

"Ont m'a appris un jour, que si je suis une cible, il faut que je m'auto-defende."

Elle qui n'aimait pas tuer, elle avait une autre idee en tete. Elle prit vite fait un couteau qui se trouvait dans la poche d'un des hommes et le lanca dans un des tuyau qui se trouvait au-dessus de la tete d'un des hommes. La vapeur brulante qui sorta avec une tel compression que l'homme se retrouva au sol, criant, la peau presque degoulante. Les hommes terrifier par cette vue, n'avait quand meme pas baisser les bras, et ne voyer presque plus rien grace a la vapeur blanche qui se retrouvait dans la salle. Il faisait atrocement chaud, et il devenait difficile d'y respirer. Yuna se baissa, car c'etait le plus pres du col, que l'oxygene se trouvait. Elle rampa jusqu'a son frere pour voir si tout aller bien...